-Le site s'enlevait doucement en hauteur,et sur le paysage flottait mon esprit libéré de ses liens,né à nouveau . Le tertre n'était plus qu'un nuage de poussière,que transperçait mon regard pour contempler la radieuse transfiguration de la Bien-Aimée. L'éternité reposait en ses yeux -J'étreignis ses mains,et ce fut un étincelant,un indéfectible lien que nous firent les larmes.Les millénaires passaient au loin comme un orage ...
traduction Armel Guerne ;Gallimard oeuvres complètes t1 p 256
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