...je n'ai plus besoin ni des dieux, ni des hommes. Je sais que le ciel est mort, qu'il est vide, que la terre, jadis débordante de beauté et de vie, est prés de se réduire a une fourmilière. Mais il est encore un lieu où le ciel ancien, la terre ancienne me sourient.
Non! Diotima,la source de la beauté éternelle n'est pas encore tarie.
Ed Gallimard : Poésie page 153
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